Le vrai espagnol Mustang est un descendant direct des chevaux apporté au nouveau monde par les Espagnols au début. Confondus par beaucoup avec les chevaux sauvages actuellement gérés par le bureau de gestion des terres (BLM), il y a une énorme différence en apparence et ascendance.
Columbus, sur ordre du Trône espagnol, a commencé faire venir les premiers chevaux espagnoles du nouveau monde sur son deuxième voyage. Par la suite, chaque navire dirigé pour le nouveau monde, par ordres de la Couronne, transportées reproducteurs de stock espagnol de choix, bovins, ovins, chevaux, etc. Les fermes d'élevage premièrement dans les Caraïbes et par la suite au Mexique. Fermes d'élevage comme la Sonora, Mexique exploités par Padre Eusebio Kino, prêtre jésuite, produit du bétails, y compris les chevaux, qui ont été placés à chaque groupe de Christianise Indien, comme Kino élargi ses efforts supplémentaires plus au Nord.
Les Apaches, jamais tomber sous le charme de l'Eglise, ont ravagé et pillée ces petites "visitas", prise le bétail à volonté. Ils ont également pillé profondément dans le Mexique - prétendument jusqu’au Sud comme la ville de Mexico. Leur objectif - espagnol bien élevé et entraîné, les chevaux des estancias mexicaines. Pour le commerce de ces chevaux précieux vers d'autres tribus les Apaches sont devenu une des méthodes de propagation des chevaux espagnoles sur l'Ouest primaires.
Au fil des ans chevaux échappés, ont été perdus ou volés et beaucoup sont devenus sauvages, itinérants partout dans l'Ouest. Finalement ils étaient des centaines de milliers, étroitement liée aux chevaux maintenus par certains des tribus indiennes, en effet, ils étaient essentiellement les chevaux mêmes.
Considérés comme les meilleurs chevaux dans le monde connu au moment de la conquête du nouveau monde, le cheval espagnol a laissé un héritage dans ses descendants robustes, beaux et rustique qui perdure jusqu'à ce jour.
Le Mustang espagnol de l’époque et maintenant
Les conditions environnementales doivent certainement avoir joué un rôle dans le développement de ces chevaux sur les nombreuses générations dans un état sauvage. Les Mustangs espagnols sauvages développement selon leur environnement avec l’extermination naturel des moins adapté aux paramètres régionaux. Si le cheval espagnol n'était pas un animal sauvage lorsqu'il est arrivé sur le sol américain, une fois libre il géré non seulement pour survivre, mais pour réussir dans le nouveau monde, ce qui témoigne de la polyvalence et la force de la race. Les imperfections génétiques, le cas échéant, ont été abattues par le juge plus critique de tous - nature. Le résultat final est un cheval extrêmement résistantes et robuste présentant l'aptitude à effectuer des performances dans presque n'importe quel discipline équine et bien. Le pouvoir de l'endurance et l'endurance de ces descendants espagnoles est légendaire.
Frank Hopkins, le coureur d'endurance renommée dans la dernière partie du XIXe siècle, un coureur de Mustangs espagnol, est cité comme disant "vous ne pouvez pas battre l’intelligence du mustang dans la race équine entière. Ces animaux ont eu pansé pour eux-mêmes, pour les générations futures. Ils devaient travailler à leur propre destin, ou être détruit. Ceux qui ont survécu sont animaux d'intelligence supérieure".
Des milliers de Mustangs espagnol ont été utilisés comme chevaux de ranche et des centaines par l'armée américaine en monte de cavalerie. Lors de la lutte contre les Indiens, qui montais des Mustangs espagnol eux-mêmes, l'option de "lutte contre l'incendie avec le feu" était brillant, comme les chevaux élevés de la cavalerie américaines n’étaient d’aucune correspondance pour ces chevaux de guerre espagnole de descendre dans les montagnes inhospitalières et arides et les plaines de l'Ouest.
Réalisations des jours modernes
Le Mustang Espagnol moderne a perdu aucun des traits trouvés dans ces chevaux d'antan. Espagnol Mustangs aujourd'hui conserve leur endurance et leur capacité à parcourir de longues distances sans stress inutile.
Emmett Brislawn, fils du fondateur du registre Mustang espagnol, entré son étalon de 16 an, Fox jaune (SMR 3) dans les aventuriers du rail Bitterroot en 1966. En sortant de la retraite où il avait passé les dernières années sur le Ranch Cayuse avec son troupeau de juments, cette race élevés par les Cheyenne d’étalon Isabelle a remporté les Championnats pour Heavyweight, devant les meilleur chevaux des USA, transportant plus de 200 livres. Inhabituel ? Pas vraiment, lorsque l'on considère qu'il avait été utilisé dans ses jeunes jours pour attraper des chevaux sauvages.
Ils disent que, lors que Fox jaune a passe la ligne d'arrivée, le vieux cheval a levé sa tête toujours à la recherche des chevaux sauvages !
En 1989, Kim Kingsley, montant un petit-fils de Fox jaune, a reçu le prix convoité Jones de Jim AERC en équitation endurance pour1550 Milles en une saison dans des épreuves de 50 et 100 mille. Chef Fox jaunes transportai une charge d’environ 250 livres toute la saison.
Chef Half Moon, un autre étalon appartenant Kingsley, était deuxième au niveau national avec 1250 endurance milles.
En plus de ces dernières années, funk du don de l'Iowa, sur son Brislawn élevés étalon, guerrier de Geronimo, a remporté le Jim Jones Award 4 années allant de 2000 à 2004, fin de 10000 miles en compétition avec le AERC.
Martha Gresham d'Auburn, Alabama, montant Cholla Bay, accumulé 1 000 Milles par an en compétition endurance du AERC en pendant trois années consécutives.
Anne-Marie Pinter de Californie, sur son hongre Montana, a participé et terminé la Tevis deux fois, une fois quand il avait 11ans, une fois quand il avait 19ans.
Le Mustang espagnol à une utilisation de cheval polyvalent et bien équipée soutenir la concurrence dans des domaines variés.
À l'heure actuelle, ils sont présent dans team penning, dressage, saut, trec, showing et gymkhana.
Un membre junior de l'Arizona, en compétition ouverte a accumulé 102 rubans en 2002 au gymkhana, également reçu le premier prix aux points gagnants pour la saison dans une association et second aux points gagnants dans une deuxième association.
Mike Pittman du Dakota du Sud est obtenu beaucoup d'attention de la par de ses concurrents dans le team penning, un sport plus récent qui croît et il est également en concurrence en compétition ouverte (contre toutes les races).
Sujet: Re: Le SMR ou Spanish Mustang ( le vrai mustang ) 
Jeu 8 Avr - 9:43
il est très beau !!! 
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pour elle 
pour le prix